Furetant sur Wikipedia, je découvre Marina Tsvetaïeva , et je lis :
« Éparpillés dans des librairies, gris de poussière,
Ni lus, ni cherchés, ni ouverts, ni vendus,
Mes poèmes seront dégustés comme les vins les plus rares
Quand ils seront vieux. »
(Marina Tsvetaïeva, 1913)
Plagiat par anticipation !
J’ai ça dans les incunables de ma librairie de Quartiers :
« Après mon départ
Mon livre fermentera dans ta tête
et le poême deviendra
un nectar exquis »
Ecrit 70 ans plus tard, comme s’il fallait rafraîchir une idée qui aurait trop dormi …